Plaza Mayor n° 6, Soria, España

Archivos mensuales: junio 2011

20 06, 2011

ASAMBLEA ANUAL DE LA CASA TRONCAL.

Por |2020-11-13T03:47:59+01:00lunes, junio 20, 2011|

Llegadas estas fechas, y como no podría ser de otro modo, quisiéramos informar a todos los miembros de esta Casa Troncal, que su Diputación de Linajes ya viene preparando la celebración de la Asamblea Anual, que este año tendrá lugar, D.m., el 27 de agosto próximo en El Burgo de Osma .
La misma estará resaltada con la presencia del Excelentísimo y Reverendísimo Señor Obispo de la Diócesis de El Burgo de Osma-Soria, Monseñor Gerardo Melgar Viciosa, a quien se le hará entrega de sus atributos de Capellán Mayor de Honor de nuestra Casa.
Monseñor Gerardo Melgar Viciosa, Obispo de Osma-Soria.
El programa en preparación es muy atractivo y nos dará la oportunidad de pasar unas horas de convivencia. El grueso del mismo, junto con la memoria del ejercicio pasado, se dará a conocer oportunamente  por todos los medios acostumbrados.
No obstante, y a tenor de la memoria anual, nos gustaría recordar algunos de los acontecimientos más importantes que han marcado este año de trabajo.
– El nombramiento y aceptación de Diputado de Honor del Excelentísimo Señor Alcalde del Ayuntamiento de Soria, a quien, como todos recordaréis, ya se le hizo entrega de la venera corporativa.
– La Firma de un Convenio de Colaboración entre el Excmo. Ayuntamiento de Soria y nuestra Casa Troncal.
– La obtención del registro de nuestra Casa Troncal y nuestro Blasón en la Oficina Española de Patentes y Marcas.
– La creación de un armorial,  y la publicación en la Web de los escudos de todos los caballeros y damas de la Casa es ya una realidad.
– El nombramiento y aceptación del Excelentísimo y Reverendísimo Señor Obispo de la Diócesis de El Burgo de Osma-Soria, Monseñor Gerardo Melgar Viciosa, como al principio hemos reseñado, culmina con un año lleno de éxitos y de metas conseguidas.
El Excmo.Sr. D.Carlos Martínez Mínguez, Alcalde de Soria, recibiendo de manos de nuestro Presidente de la Diputación la Placa y Banda que lo acreditan como Diputado de Honor de nuestra Corporación.
No tenemos empacho en reconocer que nos llena de orgullo la gran aceptación que nuestro blog está teniendo, especialmente  en Iberoamérica, sabiendo que la información que difundimos sobre genealogía, heráldica, nobiliaria, protocolo y derecho premial es la más apreciada en estos países hermanos.
Sin perjuicio de lo ya conseguido , en la Asamblea debatiremos sobre las nuevas metas y objetivos que esta Diputación está abordando, y que estamos seguro que darán sus frutos en el próximo año, que auguramos tan venturoso como el presente.
Reservemos, desde ahora, en nuestras agendas la asistencia a la Asamblea Anual de nuestra Casa.
El próximo 27 de Agosto… ¡TODOS A EL BURGO DE OSMA!
19 06, 2011

FERDINAND-PHILIPPE LOUIS CHARLES ÉRIC ROSALINO D´ORLÉANS.

Por |2020-11-13T03:47:59+01:00domingo, junio 19, 2011|

Par le Comte Philippe Michaux de Villarepos.

Ferdinand – Philippe Louis Charles Éric Rosalino d’Orléans, est né le 3 septembre 1810 à Palerme, duc de Chartres puis duc d’Orléans et prince royal de France, il était le fils aîné de Louis-Philippe Ier, roi des Français et de Marie Amélie de Bourbon, princesse des Deux-Siciles.
Né pendant l’exil de ses parents, il est prénommé Ferdinand, prénom inusité dans la maison d’Orléans, en hommage au roi de Sicile, Ferdinand Ier, son grand-père, et porte à sa naissance le titre de duc de Chartres. Le jeune prince, qui a 3 ans au moment de la chute de Napoléon Ier, vient en France pour la première fois en 1814 et s’y installe définitivement en 1817. Son père le confie d’abord aux soins d’un précepteur, M. de Boismilon, puis il le place au collège Henri-IV en 1819, voulant qu’il reçoive une éducation libérale, sur le pied de la plus complète égalité avec les autres élèves. Parmi eux, Alfred de Musset, avec qui il se lie d’amitié. Il fait de brillantes études et suit les cours de l’École polytechnique. Après un voyage en Angleterre et en Écosse en 1819, il va rejoindre à Lunéville le 1er régiment de hussards, dont il vient d’être nommé colonel par Charles X et qui prend pour l’occasion la dénomination de Hussards de Chartres.
Un prince libéral et populaire .
En 1830, il est en garnison à Joigny pendant les Trois Glorieuses. Il fait arborer la cocarde tricolore à son régiment, le 1er régiment de hussards et l’amène en toute hâte au secours des Parisiens insurgés. Arrêté provisoirement à Montrouge, et bientôt relâché, il entre le 3 août dans Paris à la tête de ses hussards de Chartres.
Avec l’avènement de la monarchie de Juillet, il prend le titre de duc d’Orléans et devient Prince royal. Son père le fait entrer au Conseil. De tempérament bouillant, le duc d’Orléans critique vertement le temps perdu à écouter palabrer les ministres et a de fréquents accrochages avec les doctrinaires, qu’il n’aime pas et vis-à-vis de qui il se veut l’interprète des sentiments de la jeunesse révolutionnaire. C’est pourquoi Casimir Perier exige, lorsqu’il accède à la présidence du Conseil en mars 1831, que le duc d’Orléans soit exclu du Conseil, auquel il cesse dès lors de participer.
En novembre 1831, le prince royal est envoyé, aux côtés du maréchal Soult, pour réprimer l’insurrection ouvrière de Lyon. Il s’acquitte de cette tâche difficile sans violence et parvient à apaiser rapidement les oppositions. Il y gagne une popularité certaine, que renforce son attitude lors de l’épidémie de choléra de 1832. Il n’hésite pas à se rendre auprès des malades les plus contagieux à l’hôtel-Dieu, prenant des risques réels puisque Casimir Perier, qui l’accompagne, contracte quant à lui la maladie et en meurt. Aux yeux du peuple et de la presse, il passe dès lors pour un prince généreux, sincèrement préoccupé du sort des plus démunis, et devient une sorte d’icone pour l’opposition dynastique d’Odilon Barrot, qui voit en lui le seul prince capable de concilier les aspirations démocratiques de la France moderne et l’héritage du passé monarchique.
Une brillante carrière militaire .
En 1831, le duc d’Orléans part avec son jeune frère le duc de Nemours, pour aller faire ses premières armes sous le maréchal Gérard ; cette campagne ne fait guère qu’une promenade militaire. Entrés en Belgique en 1831, les princes s’empressent de visiter la plaine de Jemmapes, où leur père a combattu en 1792. L’année suivante, le duc d’Orléans rentre en Belgique avec le commandement de la brigade d’avant-garde de l’armée du Nord. Le 20 novembre 1832, il est devant la citadelle d’Anvers ; il commande la tranchée dans la nuit du 29 au 30 novembre. À l’attaque meurtrière de la lunette Saint-Laurent, il s’élance sur le parapet au milieu d’une grêle de projectiles de toute espèce pour diriger l’action et stimuler le courage des soldats.
En 1835, lorsque le maréchal Clauzel est renvoyé en Algérie comme gouverneur général, le duc d’Orléans demande à son père comme une faveur de l’accompagner pour combattre l’émir Abd El-Kader. Il participe au combat de l’Habrah, où il est blessé, à la prise de Mascara, puis de Tlemcen en janvier 1836. Il rentre à Paris tout auréolé de gloire militaire.
À l’automne 1839, le duc d’Orléans repart pour l’Algérie pour réaliser, avec le maréchal Valée, la prise de possession par la France de la partie intérieure du pays, entre Constantine et Alger. Partie de Constantine le 16 octobre, trois jours après le deuxième anniversaire de la prise de la ville, la fameuse chevauchée gagne Alger le 2 novembre en passant par Sétif et le défilé des Portes de Fer. Abd-el-Kader y voit une violation du traité de Tafna et déclenche la guerre sainte contre les Français. S’enclenche ainsi une escalade qui aboutira à l’occupation totale de l’Algérie par la France. En mars 1840, le duc d’Orléans part encore une fois pour l’Algérie, emmenant avec lui le duc d’Aumale, son jeune frère, dont il dirige les premiers travaux militaires. Aux combats de l’Affroun, de l’Oued’Ger, du bois des Oliviers, il est chargé de diriger les dispositions d’attaque à la prise du Teniah de Mouzaïa. Il est rappelé en France après cette campagne.
Ce passé militaire brillant ne fait qu’accroître la popularité et le prestige du duc d’Orléans, qui consacre également ses soins à l’agrandissement des forces militaires du pays et à l’amélioration physique et morale des soldats. Il organise à Saint-Omer les chasseurs de Vincennes, devenus chasseurs d’Orléans en 1836, et redevenus chasseurs de Vincennes à pied. Il jette les bases d’une Histoire des Régiments, entreprise par ordre du ministre de la guerre, et écrit lui-même en partie celle de deux régiments qui s’étaient trouvés sous ses ordres : Le 1er régiment de hussards (Hussards de Chartres) et le Bataillon des chasseurs de Vincennes.
Le mariage du duc d’Orléans.
Le mariage du duc d’Orléans avait été l’une des grandes affaires politiques de la monarchie de Juillet. Sans la révolution de 1830, il aurait épousé la sœur du duc de Bordeaux, Mademoiselle (1819-1864). Ce projet ayant naturellement échoué en raison de la chute de la branche aînée et de l’« usurpation » (aux yeux de celle-ci) de la branche cadette, Louis-Philippe est littéralement obsédé, à partir de 1835, singulièrement après l’attentat de Fieschi, par l’établissement matrimonial de son fils aîné, alors dans sa vingt-cinquième année.
C’est aussi le moment où la monarchie de Juillet se cherche de nouveaux alliés en Europe, qui lui permettraient de ne pas dépendre trop exclusivement de l’Angleterre. Talleyrand, qui vient de renoncer à son ambassade de Londres brouillé avec le ministre britannique des Affaires étrangères, Palmerston, pousse en ce sens. Il envisage d’abord un rapprochement avec la Russie par l’intermédiaire du Wurtemberg. En effet, le roi Guillaume Ier de Wurtemberg, veuf de la grande-duchesse Katarina Pavlovna de Russie, a deux filles à marier. Mais Guillaume Ier décline la proposition.
Louis-Philippe envisage ensuite une alliance avec l’Autriche qui pourrait offrir l’archiduchesse Marie-Thérèse. La reine Marie-Amélie est très favorable à ce mariage car elle est elle-même fille d’une archiduchesse d’Autriche, la reine Marie-Caroline de Naples. L’archiduc Charles n’est pas opposé à un tel mariage, mais celui-ci se heurte en revanche à deux adversaires déterminés : le prince de Metternich, qui ne veut pas rééditer l’erreur qu’il a faite en négociant le mariage de l’archiduchesse Marie-Louise avec Napoléon Ier, et l’archiduchesse Sophie, princesse bavaroise, belle-sœur du nouvel empereur Ferdinand Ier, qui domine la cour de Vienne de sa forte personnalité en attendant que son fils, le futur François-Joseph, monte sur le trône impérial.
L’ambassadeur de France à Vienne, le comte de Sainte-Aulaire, qui a été spécialement chargé de préparer le terrain pour le mariage autrichien, ne dissimule pas la difficulté de l’affaire, sans la juger cependant tout à fait impossible. Le nouveau président du Conseil, Thiers, rêve de la conclure et d’apparaître, tel un nouveau Choiseul, comme l’artisan d’un spectaculaire renversement d’alliances en Europe. Après le refus de la maison d’Autriche, il ne reste plus que deux partis envisageables parmi les princesses catholiques : la princesse Janvière de Bragance, fille de l’empereur Pierre Ier du Brésil, et l’infante Isabelle d’Espagne, fille du frère cadet de Ferdinand VII. Toutes deux, nées en 1821, sont fort jeunes. La première est écartée en raison de l’éloignement, et la seconde en raison de son physique disgracié.
Parmi les princesses allemandes protestantes, quelques partis sont envisagés. Talleyrand, a repéré la princesse Louise de Hesse-Cassel. La reine Louise suggère la princesse Marie-Alexandrine de Saxe-Altenbourg et la princesse Victoire de Saxe-Cobourg-Gotha. En définitive, le choix se porte sur la princesse Hélène de Mecklembourg-Schwerin, fille de feu le prince héréditaire Frédéric de Mecklembourg-Schwerin. Pour le duc d’Orléans, c’est une alliance convenable, mais sans éclat, même si la princesse est la nièce du roi de Prusse, Frédéric-Guillaume III. Le mariage sera célébré en grande pompe le 30 mai 1837 au château de Fontainebleau, par l’archevêque de Paris.
Un prince éclairé et mécène .
Le duc d’Orléans est un amateur éclairé de littérature, de musique et de beaux-arts. Il montre un goût prononcé pour la collection, « faisant son choix lentement, en véritable amateur », et fait preuve d’une rare érudition. Chaque année, il consacre 100 000 à 150 000 francs de sa liste civile à des achats d’œuvres d’art ou à du mécénat culturel. Dans ses vastes appartements du palais des Tuileries, il rassemble des objets du Moyen Âge et de la Renaissance, des céramiques de Bernard Palissy, des majoliques et des céramiques hispano-mauresques, des porcelaines chinoises ou japonaises, des meubles de Caffieri, Oeben, Riesener ou Jacob. Il se passionne également pour les peintres de sa génération et achète de nombreux tableaux à Ary Scheffer et à Newton Fielding. Il possède des œuvres d’Eugène Delacroix, d’Alexandre-Gabriel Decamps, Eugène Lami, Ernest Meissonnier et Paul Delaroche. Il aime également les paysages des peintres de l’école de Barbizon, notamment Camille Corot, Paul Huet et Théodore Rousseau. Il commande à Dominique Ingres Antiochus et Stratonice, achète en 1839 Œdipe et le sphinx et lui commande son portrait en 1840.
Lui-même doué de talents de dessinateur, il fait œuvre de graveur amateur. On connaît de lui une douzaine d’eaux-fortes et de lithographies. Parmi ces dernières se trouve une pièce satirique représentant le personnage de Gulliver endormi ; des Lilliputiens arrivent de tous côtés, à pied, à cheval, en bateau, en diligence. Une pancarte évoque la proclamation alarmiste faite le 11 juillet 1792 par l’Assemblée législative, qui déclarait la patrie en danger
Une mort prématurée.
De retour de Plombières, où il venait de conduire la duchesse d’Orléans, le prince royal se disposait à partir pour Saint-Omer, où il devait passer en revue une partie de l’armée d’opération sur la Marne, dont il venait de recevoir le commandement en chef, quand il se rendit le 13 juillet 1842 à Neuilly-sur-Seine pour faire ses adieux à sa famille.
Les chevaux de sa calèche s’étant emportés, le prince voulut s’élancer de la voiture et se brisa la tête sur le pavé ; quelques heures après, il rendait le dernier soupir. Alfred de Musset évoque cet accident dans son poème Le Treize Juillet (dans le recueil Poésies nouvelles). Sa mort accidentelle prive Louis-Philippe d’un soutien qui lui manqua en 1848.
Cte Philippe Michaux .
18 06, 2011

FLASHES Y NOTICIAS.

Por |2020-11-13T03:47:59+01:00sábado, junio 18, 2011|

Como ya anunciamos en nuestra entrada correspondiente al domingo 12 de junio actuales, el Pasado día 14 se celebró 2º Centenario de la R.y M. Orden de San Fernando y Capítulo de la R. y M. Orden de San Hermenegildo, con la presencia de S.A.R. el Príncipe de Asturias.
Don Felipe, fue recibido por el Jefe de Estado Mayor de la Defensa, el General del Ejército del  Aire D. José Julio Rodríguez Fernández, el Gran Canciller de la Real y Militar Orden de San Hermenegildo, General de Ejército de Tierra D.José Rodrigo, junto a otras autoridades militares. Pasó revista y saludó de forma colectiva a los jefes de las unidades condecoradas con Laureadas o Medallas Militares Colectivas de la Orden de San Fernando. Posteriormente, S.A.R. se dirigió a saludar los Estandartes de las Ordenes y, después, efectuó un saludo colectivo a los Caballeros Capitulares.
Un momento del acto.
Tras este acto, Don Felipe procedió a la imposición de condecoraciones correspondientes a ascensos y nuevos ingresos de Caballeros en Real y Militar Orden de San Hermenegildo. En la Tribuna Real, Don Felipe asistió al acto de homenaje a los que dieron su vida por la por España, y el posterior desfile de la Guardia Real y la “Patrulla Águila”.
Por último,  el Cortejo Procesional, en la Lonja Principal, atravesó el Patio de Reyes y se dirigió a la Basílica, donde se celebró una Santa Misa por parte del Arzobispo. Como colofón se volvió a llamar a Capítulo a los Caballeros asistentes.
La Real y Benemérita Institución de Caballeros Hospitalarios de San Juan Bautista, se reunió ayer en Capítulo para asistir a la solemne ceremonia de recepción y juramento de los Caballeros y Damas de nuevo ingreso. La misma se celebró en la Iglesia de Santiago Apóstol de Cádiz a las 17´45 horas.
Recomendamos blog: “Dibujo Heráldico”.
El jueves 26 de mayo de 2011, con la voluntad de mostrar, a todo aquel que le interese, el diseño heráldico, irrumpió en la red un interesante blog que nos introduce en los usos y diseños heráldicos.
http://dibujoheraldico.blogspot.com/, guiado por D. Xavier García, es la publicación que recomendamos hoy a todos nuestros lectores.
17 06, 2011

XVII REUNIÓN AMERICANA DE GENEALOGIA Y VII CONGRESO IBEROAMERICANO DE LAS CIENCIAS GENEALÓGICAS Y HERÁLDICA.

Por |2020-11-13T03:48:00+01:00viernes, junio 17, 2011|

En la XVI Reunión Americana de Genealogía y VI Congreso Iberoamericano de la Ciencias Genealógicas y Heráldicas, organizada por el Instituto de Investigación Histórica de la Universidad Nacional Autónoma de México, desde el 11 al 15 de octubre de 2010 se acordó como sede la ciudad de Quito – Ecuador, para que se realizara el XVII Reunión Americana de Genealogía y VII Congreso Iberoamericano de la Ciencias Genealógicas y Heráldicas, desde el día 19 al 23 de Septiembre del año en curso 2011.
Programa de Actividades.
Lunes 19 de septiembre 2011.
Inscripciones.
Inauguración: Centro Cultural Metropolitano
Discurso magistral: Dr. Fernando Jurado Noboa.
Presidente vitalicio de la CSAG
Almuerzo libre
Tarde
HOTE HILTON COLON: Conferencias
(4 ponencias)
Martes 20 de septiembre 2011.
Visita a la MITAD DEL MUNDO.
4 ponencias
Centro de conferencias: 4:00 pm.
4 ponencias
Brake-Café
2 ponencias
Tour nocturno por Quito
Miércoles 21 de septiembre 2011.
Visita a las haciendas: LAS HERRERÍAS y CHILLO JIJÓN
4 ponencias
Almuerzo: LA CARRIONA
Centro de conferencias :4:00 pm
4 ponencias
Jueves 22 de septiembre 2011.
Visita a las Iglesias: LA COMPAÑÍA DE JESÚS y SAN FRANCISCO.
4 ponencias
Almuerzo: Círculo Militar – Centro
Tour libre.
Centro de conferencias 4:00 pm.
4 Ponencias
8:00pm Tour por LA MARISCAL
Viernes 23 de septiembre 2011.
Visita MUSEO DE GUAYASAMÍN.
4 Conferencias
Almuerzo HOTEL ACROSS
Simultáneamente Reunión Directiva en Collaquí
Centro de conferencias: 4:00pm
4 Conferencias
8:00 pm CLAUSURA DEL CONGRESO
CENA EN EL HILTON COLON
Sábado 24 de septiembre 2011.
TOUR A IMBABURA
Otavalo
San Antonio
Cotacachi
Almuerzo en Chorlaví
Invitación de la Dra. Marcia Stacey
Opcional la dormida.
Domingo 25 de septiembre 2011.
DESPEDIDA A LAS DELEGACIONES.
La Reunión Americana de Genealogía (RAG) agrupa a investigadores y estudiosos de la conformación de los grupos familiares que proceden, sobre todo de América española, y la Península Ibérica, por lo general vinculados a academias, institutos, centros y sociedades dedicadas al estudio de la Genealogía y la Heráldica.
La RAG tiene como misión promover el encuentro, discusión y difusión de una disciplina tradicional, vista como ciencia auxiliar de la historia y organiza congresos periódicos desde 1961. En este ya largo trayecto las reuniones se han convertido en un foro recurrente y la posibilidad de contar con un punto de encuentro para dialogar con algunos de los más prestigiosos investigadores en este campo, como también conocer las publicaciones de los colegas del extranjero, así como de algunas reveladoras novedades en la investigación y que vinculan a numerosos grupos familiares, objeto de estudio en varios países de América y la Península Ibérica.
La primera Reunión Americana de Genealogía se desarrollo en la ciudad de San Juan, Argentina en 1961. Con el paso de los años, aquel cónclave de amigos que compartían la pasión por la investigación genealógica fue derivando en actos académicos de mayor participación y actualmente concurren a ella historiadores de diferentes campos y disciplinas: historia de la familia, genealogía, heráldica, documentalistas, archivistas, historiadores del arte, informático y un sin números de interesados en uno de los campos del conocimiento que más seguidores encuentra en la actualidad.
Desde sus comienzos en Argentina, la Reunión Americana de Genealogía ha tenido que discurrir a lo largo y ancho del Continente Americano y desde su función con los Congresos Iberoamericanos de las Ciencias Genealógicas y Heráldicas, abrió su ámbito a España y Portugal. Los primeros fueron en Argentina: San Juan (1961); Córdoba (1976) y posteriormente se ha tenido las siguientes, desde: Santiago, Chile (1978); Córdoba, Argentina (1986); Córdoba, Argentina (1992); La Plata, Argentina (1995); Córdoba, Argentina (1997); Sucre, Bolivia (1998); Montevideo, Uruguay (1999); San José de Costa Rica, Costa Rica (2000); Santiago de Compostela, España (2002); Sucre, Bolivia (2003); Antigua, Guatemala (2005); Lima, Perú (2007); Santo Domingo, Republica Dominicana (2009); Morelia, México ( 2010).
Además, la RAG, con la finalidad de fomentar más aun el intercambio entre los estudiosos de esta disciplina, ha establecido diferentes mecanismos de acción con instituciones y académicas superiores. Así como en España se contó con el auspicio del Consejo de Investigaciones Científicas y de la Xunta de Galicia, como también del Instituto de Estudios Gallegos “Padre Sarmiento”. En Bolivia con la UNESCO, en Santo Domingo, con la Universidad Pedro Henríquez Ureña. En Morelia-México con la Universidad Nacional Autónoma de México. Quito tendrá como invitados especiales a las dos Corporaciones SAG Nacional de Ecuador. (Corporación- Asociación de Amigos de la Genealogía: Nacional) y SAG Centro –Sur del Ecuador, además de la U.
Los estudios sobre genealogía y heráldica han experimentado una fuerte expansión en el ámbito académico internacional. En América española, España y Portugal, la literatura sobre grupos familiares, identificación de blasones y biografías colectivas, sustentadas en una perspectiva histórica están adquiriendo, simultáneamente, un desarrollo relevante. Tenemos que recalcar que en Ecuador tiene un gran avance en cuanto a Genealogía Social y una mayor cercanía con la Historia Social. Habiéndonos empeñado en que la Historia cada vez sea más real, al igual que sus personajes y que la Genealogía sea la base de la Historia, como su identidad.
La investigación genealógica en Ecuador, ha contado con varios centros que agruparon a investigadores y estudiosos de esta Ciencia, destacando la SAG ( SOCIEDAD DE AMIGOS DE LA GENEALOGÍA), que, con estatutos aprobados por el Ministerio de Educación y Cultura, pasó a llamarse CSAG, (CORPORACIÓN- SOCIEDAD DE AMIGOS DE LA GENEALOGÍA), con dos sedes, que han publicado más de 250 obras y por lo menos 30 revistas, desde su fundación con este nombre en 1984. De estos grupos, hemos participado por lo menos tres personas diferentes pertenecientes a la CSAG, en las pasadas Reuniones Americanas, desde la de Costa Rica hasta el de Morelia- México.
Con la vasta experiencia adquirida en los innumerables congresos y reuniones tanto dentro como fuera del país y con el apoyo de la CSAG, pensamos que podemos afrontar la XVII Reunión Americana y VII Iberoamericana, una vez que viene postergándose este evento desde hace algunos años, por diferentes causas. Como en Morelia- México, se presentaron algunos inconvenientes de carácter logístico, la RAG en reunión ampliada, decidió que se debía hacerla más cercana en la fecha.
La celebración de Bicentenarios en Ecuador desde los años de 2009-30, suponen momentos importantes, cruciales, para abordar esta temática, teniendo como marco histórico la Emancipación Americana, además de otras celebraciones nacionales ecuatorianas de la época, que nos han empeñado en realizar estudios especiales sobre ciertas familias y personajes, que los daremos a conocer a continuación:
Temática de ponencias para el Congreso:
•Estudio de familias de origen indígena y su comportamiento en la época de la Independencia (tres primeras décadas del S. XIX).
•Familias hispano-americanas con descendencia en por lo menos 2 países para la época de la Independencia.
•Grandes linajes. Familias con poder económico, político o social o por ser muy difundidas, sean de gran importancia nacional.
•Comportamiento de familias tituladas en países hispanoamericanos durante la Independencia.
•Cambios sociales en grupos familiares en América española, resultado de procesos migratorios puntuales y que atiendan a un origen geográfico, social o político.
•Heráldica y genealogía de Próceres de la Independencia.
•Genética y Genealogía.
•Fuentes documentales y bibliográficas para estudios genealógicos.
16 06, 2011

ENTREVISTA A FRANCISCO MANUEL DE LAS HERAS Y BORRERO, PRESIDENTE DE LA DIPUTACIÓN DE LA CASA TRONCAL DE LOS DOCE LINAJES DE SORIA.

Por |2020-11-13T03:48:00+01:00jueves, junio 16, 2011|

Al hilo de nuestra entrada del día 9 de junio actual, en la que informábamos a nuestros lectores sobre un artículo dedicado a  la Casa Troncal, publicado en el último número de “Ritmo Platinum”, queremos subir hoy una entrevista al Presidente de la Diputación D. Francisco Manuel de las Heras y Borrero, incluida en el mismo número de la mencionada revista.
Queremos recordar, que «Ritmo Platinum» es una edición de lujo, que publica dos veces al año, la prestigiosa revista de sociedad Ritmo Social, editada quincenalmente por el periódico Listín Diario, decano de la prensa de la República Dominicana y el de mayor tirada y difusión del país.
Pasamos sin más a dar a conocer la entrevista en su integridad.

(Entrevistador)Muchos conocen su firma, más no el ser humano que está detrás de la pluma, ¿cómo se definiría usted para nuestros lectores?
 (Francisco M. de las Heras)-Me considero una persona optimista, trabajadora y emotiva. Para mi los milagros existen, lo que pasa es que, a veces, no somos capaces de identificarlos envueltos en las preocupaciones de cada día.
(E)Usted ha sido un gran colaborador de la Revista Ritmo Social, escribiendo interesantísimos artículos acerca de las monarquías, la aristocracia y la nobleza en sentido general, con sus historias, secretos, y todo lo referente a este tipo de gobierno vigente hasta nuestros días, ¿de dónde nace la pasión por estos temas, cuándo inicia en usted, el deseo de indagar en estos temas?
(FMdlH)- La afición a la historia nace en mí desde muy pequeño. Siempre cuando paseaba por las viejas ciudades españolas, o visitaba las antiguas iglesias, catedrales y monasterios, sentía como si las piedras me interpelasen, me hablasen con un leve susurro de siglos, me imaginaba cómo habría sido la vida en aquellos lugares en otras épocas, pensaba en las personas que allí habían vivido, cómo serían, que sentirían, cómo estaban organizadas…Todo ello me empujaba a estudiar a los personajes y su contexto social, el sistema político, las corporaciones nobles, etc.
La heráldica, o ciencia del blasón, me atraía sobre manera, la belleza de los escudos representaba, en pocos trazos, la historia de todo un linaje. Me parecía apasionante…¡¡¡ Luego esas casonas y palacios con ese empaque y señorío me invitaban a ser respetuoso con lo que en un tiempo significaron, tanto para lo bueno como para lo malo, y comencé a interesarme más profundamente y en detalle. Pero esta curiosidad mía nunca me llevó al deseo de reproducir esquemas caducos, la vida es evolución, aunque esta evolución no debería llevarnos a una amnesia colectiva hasta el punto de perder nuestras señas de identidad. Una prueba exitosa de esta evolución son las monarquías actuales de corte democrático y parlamentario, que han sabido adaptarse a los nuevos tiempos en beneficio de sus pueblos.
Todo este mundo de las corporaciones nobles, incluidos los países en los que no existe el sistema monárquico de gobierno, constituye un patrimonio intangible de incalculable valor que no debe perderse. Yo creo que a nadie se le ocurriría derribar una catedral gótica para hacer un aparcamiento, sería una barbaridad. Para mi la misma barbaridad sería dejar en el olvido de la noche de los tiempos estas corporaciones y hermandades nobles que son, también, verdaderos monumentos a conservar, monumentos espirituales, que sólo pueden verse con los ojos del alma. Obviamente, estos principios se interiorizan mejor cuando se han vivido en el seno de una familia.

Cuerpo del Artículo.
(E)A partir de enero de este año, su columna en Ritmo Social ha dado un nuevo giro y bajo el título de “Nobles sin Fronteras” vuelve al ruedo con estos temas, ¿qué pueden esperar de innovador los lectores en esta nueva etapa?
(FMdlH)-Quisiera transmitir a mis lectores otra visión de la nobleza y las corporaciones nobles, quisiera que las viesen como algo dinámico y vivo, destruyendo mitos, criticando sus defectos y exponiendo sus virtudes, que también las tienen. Quisiera enseñarles que estas disciplinas, consideradas elitistas por muchas personas, pueden reportarnos momentos inolvidables, experiencias y amistades que conservaremos durante toda nuestra vida.
(E)Usted funge como Presidente de la Diputación de La Casa Troncal de los Doce Linajes de Soria, nos gustaría saber la historia de esta noble corporación, ¿desde cuándo ostenta usted este título y cuál ha sido su incidencia en la República Dominicana?

DETALLE DEL ARTÍCULO: Francisco M. de las Heras firmando un expediente.
(FMdlH)-El origen de la Casa Troncal de los Doce Linajes de Soria se remonta a la época de la repoblación de Soria por el Rey don Alfonso I de Aragón, aunque hay autores que sostienen que su origen se encuentra en la época del rey Alfonso VII o Alfonso VIII.
El afamado autor Francisco Mosquera de Barnuevo consigna que los Doce Linajes de Soria son antiquísimos, «los cuales lo son tanto –afirma- que no sé yo que haya en España que más lo sea». En los Doce Linajes no había privilegiados, todos gozaban de igual preeminencia. Ningún Linaje era ni primero ni último, sino iguales, «exactos en antigüedad y nobleza».
Los representantes de los Doce Linajes ejercían los principales cargos inherentes al gobierno de la ciudad de Soria. Hasta el siglo XIX fue una corporación nobiliaria, pero también fue una «institución política» del antiguo régimen. Al comenzar la etapa constitucional, en 1836, cesa en el ejercicio de sus funciones políticas y administrativas, que pasan a ser desempeñadas por las Diputaciones Provinciales y los Ayuntamientos. Pero la Casa Troncal nunca estuvo extinguida, pues como institución de derecho familiar sigue la misma suerte de las familias que la integran y mientras existan familias que desciendan de los Doce Linajes seguirá existiendo la Casa.

DETALLE DEL ARTÍCULO : Un joven Francisco M. de las Heras en compañía de D. Carlos Hugo de Borbón Parma.
Por ello, un grupo de descendientes de caballeros que integraron los Doce Linajes de Soria, han asumido en septiembre del 2009, momento en que fui designado Presidente de su Diputación de Linajes, la tarea de restaurar, como un patrimonio moral y de sangre, esta ilustre Casa, desprovista ya de todas sus posesiones materiales.
Difícil de olvidar resulta el clamor de Don Baltasar Luengo, uno de los personajes más destacados y representativos de Los Linajes, cuando en 1865 la actividad de la Casa se veía seriamente amenazada por la pérdida de sus propiedades: “Conservemos la existencia de la Casa Troncal de Linajes de Soria, por más que las familias que deben honrarse de pertenecer a ella, tengan que sobrellevar la amargura de la pérdida de sus bienes, pues aún cuando hoy aparentemente estén despreciados sus timbres, en el porvenir volverán a su antiguo esplendor, ya que constituye un legado precioso de nuestros antepasados, que debemos conservarlo ileso.”
En un artículo que se publica en este mismo número, se da cumplida cuenta de la incidencia de la Casa Troncal en la República Dominicana.
(E)En las Armas que usted representa se lee en la parte inferior las palabras “Virtud y Honor” qué significa para la corporación esta palabras y para usted particularmente?
(FMdlH)- Virtud es a lo que nuestro comportamiento debe tender, persona virtuosa es la que intenta hacer lo que se debe hacer. El Honor es mantener una conducta que no nos avergüence, una conducta de la que podamos siempre responder con la cara levantada. Ya sabes aquello de que más vale morir de pié que vivir de rodillas. Virtud y Honor se complementan.

DETALLE DEL ARTÍCULO: Francisco M de las Heras en compañía de Dña. Carolina de Borbón Parma.
(E)Usted tiene el título nobiliario de “Barón” de la Casa de las Heras. ¿Podría darnos una breve historia de esta Casa?
(FMdlH)- Antes de nada, me gustaría aclarar que en España la nobleza está compuesta por dos grandes colectivos: la nobleza titulada (aquella que está en posesión de un título nobiliario) y la nobleza no titulada (aquella que acredita su nobleza mediante la posesión de una ejecutoria de hidalguía, entre otras modalidades), siendo tanto la una como la otra de idéntico valor para desempeñar los cargos y oficios reservados en el antiguo régimen al estado noble.
La familia De las Heras, con nobleza no titulada, pertenece a la antigua nobleza de Soria, como lo acredita su pertenencia a la Casa Troncal de los Doce Linajes, a través del linaje Santisteban. En toda la provincia gozaban de una posición preeminente, desempeñando los principales oficios nobles.
Como consecuencia lógica de la nobleza ostentada, vemos en el siglo XVII a Don Juan de las Heras y Sotomayor y a Don Juan de las Heras y Salcedo, mis séptimo y octavo abuelos, desempeñando en Cabrejas del Campo el cargo de Alcalde Ordinario por el Estado de los Hijosdalgos de Sangre e informando expedientes de ingreso en la Orden de Caballería de Santiago.
En esta localidad de Cabrejas los De las Heras, que poseían una antigua ejecutoria de hidalguía, ostentaban en la Iglesia Parroquial el patronato de una capilla, blasonada de su escudo de armas. Este linaje siempre fue considerado noble y muy antiguo. Además, poseía un mayorazgo cuantioso y casa principal, viviendo sus miembros de sus oficios nobles y de las rentas de su mayorazgo, según consta en la documentación obrante en el Archivo Histórico Nacional, en Madrid, expediente relativo al ingreso en la Orden de Santiago de Don Rodrigo de Salcedo y de las Heras, Vinuesa y de la Parra.
Recientemente, en el año 2008, Su Alteza Real el Príncipe David Bagrationi, en su condición de Jefe de la Casa Real de Georgia, me dispensó el honor de otorgarme el título nobiliario de Barón de Casa de las Heras.

DETALLE DEL ARTÍCULO: Francisco M. de las Heras en compañía de Dña. Esperanza de Borbón Dos Sicilias.
(E) ¿Cuál es la similitud o la diferencia en sentido general de los títulos nobiliarios Barón, Duque, Archiduque, Conde o Marqués?
(FMdlH)- La denominación de las dignidades nobiliarias procede de la edad media, cuando la nobleza era guerrera. Luego se hizo cortesana. En sentido general, la diferencia entre las diversas denominaciones nobiliarias consiste en su jerarquía. El título de Duque es el de más elevado rango en la escala nobiliaria. En España, hoy día, todas las distinciones nobiliarias forman parte del derecho premial del estado, sin que conceda al beneficiario ningún derecho ni exclusivo ni excluyente, es decir que se agota en su mero uso.
El título de Archiduque es exclusivo del imperio austro-húngaro, mientras que el de Gran Duque corresponde al imperio ruso.
(E)Entendemos la Heráldica en términos muy técnicos como la ciencia del blasón, personalmente para usted, ¿cuál sería su definición?
(FMdlH)- La Heráldica es la ciencia auxiliar de la historia mediante la que se identifica un linaje, familia, o individuo, a partir de una representación simbólica determinada. Es una especie de prolongación del nombre, una seña personal de identidad. Los blasones sirven tanto para identificar individuos como corporaciones, gremios, ayuntamientos, instituciones eclesiásticas, etc. Indudablemente, tiene sus propias reglas y normas, que debemos respetar, para que constituya un lenguaje uniforme e interpretable por cualquier experto con facilidad.
(E)Por sus funciones diplomáticas, usted reside actualmente en Venezuela, ¿cuáles son sus principales funciones en la tierra de Bolívar?
(FMdlH)- En la Delegación de la Unión Europea en Venezuela ejerzo las funciones de Primer Consejero, Jefe de la Sección de Contratos y Finanzas. También sustituyo al embajador durante sus ausencias reglamentarias.
(E)Imagino que no es fácil vivir de país en país o de ciudad en ciudad, quizás cuando logra hacer amigos en un destino determinado, debe empacar para marcharse a otra latitud, ¿cómo logra superar esto y poder seguir sirviendo donde lo envíen?
(FMdlH)-No te oculto que esta vida no es fácil y que, a veces, vas dejando jirones de tu alma en cada traslado. Pero, si sabes conservar tus amistades, cuando vienes a darte cuenta tienes amigos en diferentes partes del mundo y eso te recompensa de muchas amarguras y sinsabores. En cualquier caso, para este tipo de vida hay que tener un «perfil» apropiado, como se dice hoy día.
(E)Dentro de este mundo heráldico, no todo es color de rosa, Si tuviera que describir en pocas palabras el mundo de los nobles, ¿cómo sería?
(FMdlH)- Mira, Ricardo, el ser humano siempre es el mismo, con sus grandezas y sus miserias, sus alegrías y sus penas. La vida de una persona noble es igual que la de cualquier persona, todos somos iguales y hoy nadie, afortunadamente, tiene más derechos que otros.
No obstante, habría que decir que la persona que ostenta el peso de un linaje histórico lo que tiene son más responsabilidades que el resto de los mortales, pues siempre debe mantener un comportamiento y una conducta exigente de manera que no se manche el nombre que lleva y lo que representa. “Nobleza obliga”, se suele decir.
También sucede que, a veces, anda suelto mucho noble de opereta, personaje absolutamente ridículo, que siempre se está quejando de la sociedad, que se victimiza a cada momento y que no vive en un mundo real. En estos casos, ¿tú sabes cuál es la diferencia entre un noble y otro que no lo es? Pues, no hay ninguna diferencia, pero este tipo de noble…no lo sabe…¡¡¡
(E)Usted pertenece a más de una docena de Hermandades, Corporaciones Nobiliarias y otras distinciones, ¿qué responsabilidad acarrea estos títulos?
(FMdlH)- Efectivamente, tengo el honor de pertenecer a un selecto número de corporaciones y hermandades nobles y poseer diversas condecoraciones nobiliarias y civiles de mérito. En este sentido, y pese a que a todas las tengo en muchísimo aprecio, quisiera manifestarte que la condecoración que ostento con más orgullo es la Encomienda de la Orden del Mérito de Duarte, Sánchez y Mella, que me otorgó en julio de 2007 el Presidente Leonel Fernández.
Pero, volviendo a tu pregunta, te diré que, cuando voluntariamente se ingresa en una corporación de corte histórico-nobiliario, de lo primero que hay que tener conciencia es de lo que esa corporación representó en el pasado y de que debe mantener con dignidad su presencia en el mundo actual. Supone un compromiso moral, un testimonio ante la sociedad para mostrar que tradición y modernidad no son incompatibles, sino que, por el contrario, podría ser una buena síntesis, podrían complementarse.
(E)La ciencia heráldica, la nobleza y todo este mundo es amplio y vasto, qué consejos le daría a las personas que estén interesadas por conocer más fondo estos temas. A grosso modo, ¿por dónde deberíamos iniciar?

Fotografía que abre el artículo.
(FMdlH)- Hoy día es relativamente fácil iniciarse o ampliar conocimientos en genealogía, heráldica y nobiliaria. En internet hay numerosas páginas dedicadas a estas materias y se publicitan numerosos cursos, incluido el nivel universitario. En todo caso, también son disciplinas que pueden cultivarse de forma individual, siempre con paciencia, leyendo obras especializadas, tomando notas, consultando a los expertos.
Quisiera destacar que en República Dominicana existen dos organismos sobre este tema: el Instituto Dominicano de Genealogía, del que soy Miembro Correspondiente, y la Academia Dominicana de Genealogía y Heráldica, de la que soy fundador y Vice-Presidente.
15 06, 2011

NÚM.24 DE «ATAVIS ET ARMIS».

Por |2020-11-13T03:48:00+01:00miércoles, junio 15, 2011|

Recientemente hemos recibido en esta Casa Troncal el núm.24 de la Revista Atavis et Armis”, órgano de comunicación del Gran Priorato de España de la Orden Militar y Hospitalaria de San Lázaro de Jerusalén.
Portada con el retrato del  Patriarca Griego-Melequita Cirilo VIII Ghea.
La misma se edita en esta ocasión con los siguientes apartados y artículos:
En el apartado correspondiente a Avisos de la Cancillería, se incluyen  diversas notas sobre la nueva sede del Gran Priorato, la recomendación de abstención de inscribir en el Elenco del Gran Priorato determinados títulos nobiliarios, y la polémica en Internet que han protagonizado en Blog de Heráldica , D. José María de Montells, con el académico de la Matritense, Sampedro Escolar a propósito del carácter lazarista o no del general conde Levashov.
En el apartado correspondiente a Noticias del Gran Priorato, se incluyen los siguientes artículos:
-Donaciones a diversas entidades por parte de la fundación San Lázaro.
-Una Joya Bibliográfica.
-Nueva Sede: Para una historia del Monasterio de Santo Domingo El Real de Madrid.
-Nueva Sede: La otra Joya del Convento de Santo Domingo el Real, La Madona de Madrid.
-Conferencia del Príncipe Osman Rifat Ibrahim.
-Campaña de Ayuda a Guinea Ecuatorial.
-El Gran Prior Adjunto de Nueva Zelanda, Nuevo Gobernador General.
-Asamblea General de la Asociación Española de los Caballeros de la Orden.
-El Lago Ness o la Academia Matritense.
-Fallece en México el Caballero Gran Cruz D. Jorge A. de Regil y Escobedo.
En el Apartado de Colaboraciones, distinguimos:
– La Protección Espiritual de los Patriarcas Católicos Melquitas de Antioquía y Jerusalén: Datos para una Argumentación, de la autoría de D. José María de Montells.
– La Virgen del Carmen de la Iglesia de San Gil Abad de Sevilla, Gran Cruz de Gracia de la Orden de San Lázaro, de la autoría de D. Rafael Portell Pasamonte.
-Por la Buena Memoria de un Egregio Lazarista: De la Cruz Laureada de Franco y de la Ignorancia de un Malsín, de la autoria del Sr. Marqués de la Floresta.
-Zog I de Albania, Rey Musulmán y Lazarista, de la autoría de D. Daniel García Riol.
Armas del Patriarca de Antioquía Gregorios III Latham.
En el apartado Escaparate de Libros, se incluyen las últimas novedades y Como cierre de este número se incluyen las Armas de Su Beatitud el Patriarca de Antioquía, Gregorios III Latham, Protector Espiritual de la Orden de San Lázaro,blasonadas por el Juez de Armas, D José María de Montells y dibujadas por D. Carlos Navarro Gazapo.
14 06, 2011

NOTAS SOBRE HERÁLDICA JAPONESA (II)

Por |2020-11-13T03:48:00+01:00martes, junio 14, 2011|

Uma-jirushi, Nobori, Hata-jirushi y Sashimono.
Muchos definirían a las banderas o estandartes como piezas rectangulares de tela, lisas o con franjas de colores o figuras simbólicas, que representan a un grupo de personas o a una individualidad. Para un guerrero samurái (bushi) era su nexo de pertenencia a un clan y su seña de lealtad al señor feudal al que rendía vasallaje ( Daimyo).
Carga de caballería (Sengoku)
La entrada de hoy la vamos a dedicar a completar nuestras “Notas Sobre Heráldica Japonesa” subidas a este blog el día 05 de los actuales, centrándonos hoy en las banderas y estandartes que portaban los “ bushi” en el campo de batalla, intentando explicar sus usos y peculiaridades de una forma sencilla. Quizás estas pequeñas notas entren más en el terreno de la vexilología que en el de la heráldica, pero más que en la enseña en si, quiero centrarme en la espiritualidad del símbolo contenido en ella, que arrastraba al samurái a venerar a su maestro, mediante la defensa del mon (kamon), como símbolo de lealtad y pertenencia a un ente común.
Bushi medieval japones (samurái).
Los Uma-jirushi, eran estandartes de gran tamaño que contenían el Kamon del Daimyo. Su misión era señalar en el campo de batalla y en las formaciones militares, la posición que ocupaba el Señor. Aunque éstas podían tener varias formas ( banderas, serpentinas, papelotes, sombrillas, yelmos, abanicos, gongs, etc.) sólo existían dos categorías: los o-uma-jirushi y los ko-uma-jirushi, “estandarte mayor” y “estandarte menor”. Los Daimyos menores, que gozaban de menores ingresos, solo podían usar el “estandarte menor”, mientras que los de mayor prestigio e ingresos, podían usar ambos en sus comitivas. En 1645, el shogunato Tokugawa formalizó su uso, permitiendo que los Daimyo con un ingreso superior a los 1,300 koku, utilizaran los ko-uma-jirushi, y los daimyo que tuvieran ingresos superiores a los 6,000 koku, emplearan además los o-uma-jirushi.
Distintos  Uma-jirushi. 
Por su simbolismo, éstos eran el centro de atención en los campos de batalla, ya que mientras los mismos daban moral a las tropas, creaban solidez en las líneas, y servían para ser el eje de la organización del ejército.También eran objeto de la atención de las tropas enemigas, que conociendo la presencia del Daimyo rival, hostigaban y lanzaban constantes ataques a la posición dominada por el Uma-jirushi.
Los Nobori son un tipo de banderolas largas y angostas que se utilizaban en el campo de batalla. Su misión era mantenerse siempre visibles para identificar a las unidades de “ bushi” que se encontraban en el campo de batalla. Éstas se hicieron muy populares durante el periodo “Sengoku” junto con las Hata-jirushi.
Distintos nobori.
Hoy día se continúan usando durante festivales y eventos deportivos en todo Japón.
Las Hata-jirushi, especie de cintas o marcadores de colores, que se usaban en el campo de batalla para identificar a unidades militares, sustituyendo a los nobori. Su traducción más precisa es “símbolo” o “ emblema”.
Distintos hata-jirushi.
El emblema es la representación pictográfica del Daimyo, por lo tanto de todo el clan. Los distintos mon que poseen los jefes militares se simplifican al máximo en estos «marcadores» al objeto de poder ser indentificados con un rápido golpe de vista en la batalla.
Bushi avanzando con el hata-jirushi de su unidad.
El sashimono era una pequeña bandera, muy parecida al naborí, que portaban los “bushi” en la parte trasera de su armadura. Generalmente el sashimono iba cargado con el mon ( kamon o escudo) del Daimyo al que servían. Ésto habida cuenta de lo heterogéneo de las armaduras de los samuráis, daba cierta uniformidad a las tropas en combate.
Distintos tipos de sashimono.
El sashimono, normalmente estaba confeccionado con los llamados “colores talismán”. Entre los “bushi” el rojo, el azul, el amarillo, el blanco y el negro, o una mezcla de algunos o varios de ellos, eran considerados como colores con suerte para la batalla.
A determinados guerreros, por su fiereza y destacado envite en el combate, se les permitía personalizar el sashimono, utilizando su propio símbolo familiar, o bien escribir su nombre en ella, a modo de presentación y aviso. Todos sabemos que muchas batallas del Japón medieval  se han resuelto de forma «heróica» ( luchando solo dos paladines, uno por cada ejército, dándose la victoria a la facción del samurái que quedaba en pie) y la mera visión de determinados «sashimono» de guerreros consagrados, en las filas de uno de los ejércitos hacía que la moral del enemigo bajase considerablemente, e incluso que se diesen a la fuga despavoridos.
Colocación del sashimono en la armadura del «Bushi».
Muchos “bushi” usaban como «sashimono» objetos tridimensionales, plumas y/o especie de serpentinas, con determinados colores convenidos, que además de identificar al clan al que servían, le permitían más movilidad o defensa contra armas arrojadizas.

“Morir en el combate no es una deshonra, es el camino del Guerrero”.Para entender las manifestaciones heráldicas de los “bushi” hay que conocer muy de cerca al guerrero. Si traducimos la palabra samurái, lejos de tener un significado bélico, lo tiene de servicio y abnegación. 
Los samurái eran servidores. Estaban al servicio de sus amos o maestros en cuerpo y alma. El samurái pertenecía a una casta guerrera e intelectual  que se heredaba generación en generación. Su amplio sentido del honor y del deber, le hacían seguir un código de conducta mucho más ferreo que el de  los caballeros occidentales. Un bello poema fúnebre, posiblemente entonado por un «bushi» antes de encontrarse con la muerte decía : “La vida de un guerrero es bella y breve como la flor del cerezo”.Estos guerreros, bajo la dirección de sus Daimyos se enseñorearon de las islas del Japón entre los siglos XI al XVII, aunque las primeras noticias sobre esta casta data del siglo IX.
 Durante  los largos  periodos  de luchas entre clanes, se les podía ver  a lomos de sus pequeñas pero resistentes cabalgaduras, fieles a un ritual guerrero impuesto por el «bushido» (camino del guerrero), autentico decálogo de conducta donde el honor era más importante que la propia vida.
Antes del combate el «bushi» componía su propio poema fúnebre, una corta pero bella composición en la que se despedía del mundo y aceptaba su destino. Participando posteriormente  en ceremonias donde la intensidad y el honor rezumaban por los poros del guerrero.

Kojima Yataro, sujetando en su mano una cabeza cercenada a un enemigo.


Disfrutando de la más bella ceremonia, los “bushi”, vestían sus ropas más elegantes y ceñían a su cuerpo majestuosas armaduras lacadas en los «colores talismán», en las que un sinfín de piezas ajustadas milimétricamente protegían a su dueño.
La leyenda y la tradición se hacían una sola cuando la espada elegía compañero. Para tal menester el samurái se situaba ante una selección de espadas, la elección dependía de las vibraciones comunes emitidas por la espada y el samurái. Una vez  que la espada elegía a su dueño ya no volverían a separarse nunca más.
Entre batallas,  los samurái ocupaban su ocio en el perfeccionamiento del espíritu. Gustaban de la poesía, el teatro y se refugiaban con frecuencia en la creación de maravillosos jardines flotantes. Eran grandes pensadores, que por tradición, vocación y razón de nacimiento vivieron para seguir el camino del guerrero.

Bibliografía consultada e imágenes.
Samurai Heraldry, Flags and Standads of Samurai Armies ( The Samurai Archives Citadel Japase History Forum  http://forums.samurai-archives.com/ )
Samurai Heraldry (Eli-82).
Samurais (Javier Villahizán) 2010.
The Takeda y The Uesugui (Martin Jones).

13 06, 2011

INVESTIDURA DE LA REAL CONFRARIA DE SAO TEOTONIO EN BÉLGICA.

Por |2020-11-13T03:48:01+01:00lunes, junio 13, 2011|

El Canciller de la Casa Troncal en Bélgica, el Caballero Manuel Duchesne, nos envía esta emotiva nota que recoge las impresiones vividas durante la ceremonia de investidura, celebrada en las cercanías de Bruselas el pasado 28 de mayo, por un nuevo miembro de la Real Confraría de Sao Teotonio, que prefiere quedar en el anonimato.
He aquí, para conocimiento general de nuestros lectores, la reproducción de este relato, lleno de espiritualidad y emoción.
Témoin d’une cérémonie particulière.
Cet article a été écrit par un nouveau confrère du Prieuré Principal du Benelux de la Confraternité Royale de Saint Téotonio, ce dernier a voulu nous exprimer son ressenti.
La Cérémonie d’investiture de la Confraternité Royale de Saint Téotonio du Royaume de Belgique le 28 Mai 2011.
Tout commence par un voyage en voiture à travers la Hesbaye, plateau agricole belge pittoresque, balayé par les vents en ce samedi. Il y fait sec, comme dans le reste de l’Europe, trop sec. La lumière est au rendez-vous avec un fond de fraîcheur pas désagréable.
Nous arrivons au Château de Limont pour y prendre nos quartiers, y avoir nos premières rencontres de personnes pressées et souvent stressées mais toujours courtoises et charmantes. Nous nous préparons et rejoignons l’église proche accompagnée d’une très vieille tour médiévale mystérieuse. Nos habits se mêlent en silence avec d’autres habits de cérémonie stricts qui se bigarrent d’insignes, de capes et d’autres symboles séculaires connus ou inconnus.
Après un briefing sur le déroulement, je m’installe ou l’on m’indique et je fais connaissance avec d’autres postulants. Ces discussions que nous avons dans ce lieu sacré ont une teinte particulière. Les premières phrases échangées permettent de ressentir quelque chose de partagé autre que ce lieu, que cet événement qui nous lient. Mais de quoi s’agit-il? Les paroles nous permettent vite de trouver des points communs. Pas sur des aspects matériels, non. Pas sur des attentes. Mais sur des sentiments, des visions, des attitudes devant certaines situations…
La cérémonie se déroule. La liturgie entoure et embrassant l’investiture même. L’humilité n’est pas que celle du lieu, c’est aussi celle de la solennité, elle transpire de chaque acteur, elle émane surtout du maître de cérémonie qui la rythme et l’imprime de son style formel, respectueux, humble. La musique qui nous accompagne est de grande qualité, champs polyphoniques de qualité, accompagnements musicaux, cornemuse. Que peux-t-on espérer de mieux?
Les événements se passent, comme ils doivent se passer. Le Grand Prieur officie avec les différents acteurs qui l’entourent. Certains de mes «frères en devenir» sont stressés, bizarrement ce n’est pas mon cas au contraire. Je tente de les rassurer. Enfin c’est mon tour. Au moment où je m’agenouille, j’ai le sentiment d’être dans une alcôve fermée, comme si l’église était vide. Je me relève et je rejoins ma place. Le cours se poursuit, la cérémonie se clôture, nous sortons. Les mots se mêlent dans ma tête, comme c’est souvent le cas quand je sors de l’Eglise. Cette fois-ci pourtant, ils résonnent d’une manière différente: «Nous sommes tous des pêcheurs», «Jésus est mort pour nous» mais surtout «frères». Cela fait très longtemps que je n’ai pas ressenti ce sentiment de fraternité. Cela m’aide, cela me porte.
La suite des événements est tout aussi formelle mais plus «sociale». Le cocktail et le dîner sont agréable, bien organisé, comme tous le reste de cette journée. Le protocole me parait extrêmement bien respecté. Je n’aurais cependant jamais cru qu’il pouvait l’être avec autant de naturel, d’humanité. Nous parlons et rencontrons beaucoup de personnes, de personnages sut-il souligné! Ils sont de tous horizons et portent visiblement à nouveau quelque chose en commun avec nous. Une certaine ouverture d’esprit? Certainement! Une curiosité saine de l’autre et de ces visions des choses? Oui également!
La journée se termine avec un fort sentiment d’enrichissement. Je travaille comme beaucoup avec des gens de cultures différentes et ceci depuis des années mais je n’ai pas souvent ces impressions de partage et d’enrichissement.
Qu’est-ce qui nous à fait nous rencontrer? On dit que qui se ressemble s’assemble. Mais on dit aussi le contraire. Que croire? Nous sommes trop différents au fond car nous sommes tous de cultures et d’horizons très variés. Quel est ce plus petit commun dénominateur? Il s’agit bien entendu de nos valeurs. Celles qui commencent et se développent grâce à notre cœur. Celles que seule la mystique de la cérémonie permet de révéler. Celles qui peuvent nous faire faire des choses ensemble au bénéfice d’autrui.
Un nouveau confrère anonyme.
Une partie des officiants durant la cérémonie.

Membres et amis de la Confraternité Royale de Saint-Téotonio réuni pour la photo de famille, à l’issue de la célébration.

Remise d’un cheque de 500 € au profit de la foundation Prince Irakly Bagration à S.A.R. Prince Davit Bagration Moukhrani.
Luc Saïd Mohamed Check, Sultan charif de la Grande Comore, descendant du Prophète et Grand Maître de l’Ordre du Croissant de la Grande Comore, signe notre livre d’or.

Le Prieur Principal du Bénélux avait organisé un meeting pour les membres de son Prieuré Principal.

S.A.S Dom Filipe de Mendoça, Comte du Rio Grande et Grand Maître de l’Ordre Militaire de Saint-Sébastien, nous a fait l’honneur de sa présence.

Le Commandeur du Grand Duché du Luxembourg.

Notre Grand Prieur le Comte de Rolim dépose une gerbe de la Confraternité à la Crypte Royale à l’Eglise Notre Dame de Laeken.

La gerbe de la RCST sur le tombeau du premier Roi des Belges, S.M. Léopold I.

Notre Grand Prieur et le Commandeur de Guimares à la Crypte Royale.

Une délégation du Prieuré Principal du Benelux de la Confraternité Royale de Saint-Téotonio, a rendu un hommage solennel à la crypte Royale.

12 06, 2011

LOS DOCE LINAJES Y EL REY ARTURO.

Por |2020-11-13T03:48:01+01:00domingo, junio 12, 2011|

El sábado, 4 de los actuales, publicamos en este blog un pequeño artículo dedicado a dar a conocer el gusto por parte de muchos de nuestros Caballeros, por adornar sus armerías con la rueda de los Doce Linajes como signo de identidad y de pertenencia a nuestra querida Casa Troncal. Para ilustrar dicho artículo subimos unas notas que son parte de un magnífico artículo de la autoría de D. Ángel Almazán de Gracia, titulado “LOS DOCE LINAJES Y EL REY ARTURO”. Artículo publicado originalmente en  2003 en la web SORIA Y MÁS ( http://www.soriaymas.com/ ).
Hoy, por el especial interés que el mismo despierta, no solo en los amantes de estas ciencias  y tradiciones, sino también en los que de vez en cuando nos gusta asomarnos a lo mistérico y a lo maravilloso, queremos dedicar la entrada de nuestro blog a la publicación de dicho artículo en su integridad.
Esperamos les guste tanto como a nosotros.
La promotora del mito artúrico y musa de los trovadores, Leonor de Aquitania, y Soria. El simbolismo arquétípico de la Rueda de los 12 Linajes y la Tabla Redonda del rey Arturo…
Hubo un tiempo en el que existió un Rey, unos Caballeros y una Dama. Fue una época de leyendas míticas. «Excalibur», prototipo de la «Tizona » de nuestro Cid y de la espada «Cantarina » del Príncipe Valiente, surgió del fondo de las aguas de la mano de la ‘Dama del Lago’ y con Merlín como testigo fue a parar a su nuevo dueño, Arturo, que se casaría con Ginebra y crearía una hermandad caballeresca en torno a la Tabla Redonda, de donde partirían los caballeros en busca del Grial. Y hubo un tiempo en el que existió un rey, unos caballeros y una dama. Fue una época en el que las leyendas crearon personajes históricos arquetípicos.
LEONOR DE AQUITANIA.
Leonor de Aquitania se casó con Enrique II Plantagenet tras ser repudiada por Luis VII de Francia. Ella fue la musa de los trovadores franceses y bardos bretones e impulsó el ciclo literario artúrico y griálico. Y tuvo una hija, Leonor de Plantagenet, que se casaría con Alfonso VIII, rey de Castilla. Y ella trajo la Tabla Redonda a nuestra tierra en forma de ‘Rueda Troncal de los Doce Linajes’ mientras miraba a la izquierda hacia la ‘Sierra de la Demanda del Grial’ y a la derecha a la ‘Sierra del Almuerzo’, sede griálico-artúrica de los Siete Infantes de Lara, con los Templarios como guardianes.
Todo se entremezcla simbólicamente en esta historia: el mito nos lleva a su encarnación histórica, que siempre es imperfecta e incompleta por ser humana y estar cada vez más alejada de los arquetipos originarios y de los dioses.
La representación de Leonor de Aquitania más conocida.
«Leonor armando a un Caballero».
¿Por dónde empezar? Comenzar a hablar de Hiperbórea sería redundante, aunque ahí esta la génesis de los mitos indoeuropeos en los que transcurre nuestra historia. Partamos, pues, del siglo XII para mayor comodidad del lector. Y digamos, con Joseph Campbell en «El poder del mito» que «no creo que haya habido nadie en la Edad Media de una talla equivalente a la de Leonor de Aquitania». Fue la mujer más interesante, importante y fascinante. Nació en 1122, tres años después de fundarse la Orden del Temple, y falleció en 1204. Fue duquesa de Aquitania, condesa de Poitou, reina de Francia y de Inglaterra.
Sin ella quizás no hubiesen existido la Cortes de Amor tal y como se desarrollaron, con ese trasfondo hermético y esotérico que repudiaron y combatieron Domingo de Guzmán y su mentor, Diego de Acebes, obispo de Osma. Sin ella no se hubieran escrito dos de las mejores obras de ese siglo: Roman de Rou y Roman de Brut (esta última desencadenaría una serie de novelas de temas arturianos).
Jean Markale dice que Chrétien de Troyes se inspiró en ella para el personaje de Ginebra en sus obras artúrico-griálicas. Y agrega lo siguiente: «Se puede afirmar que, sin Leonor, no habría literatura cortés, por lo menos en lengua francesa, y que la mayoría de las leyendas celtas relativas al amor serían completamente ignoradas en la Europa cultivada del siglo XII. Fue necesario que una reina apasionada por el tema del amor y por la poesía prestara oído a los fabulistas bretones que recorrían sus estados continentales e insulares para que se desatara un proceso único en la historia literaria: la invasión de un viejo mito y su rejuvenecimiento a través de poetas cuyo genio se revela en el grandioso fresco que nos han dejado. Tristán, Isolda, Arturo,, Ginebra, Lancelot, Gauvin, Merlín, Yvain, Laudine, Luned, Viviane y Morgana: estos nombres, convertidos en símbolos universales, nos traen el recuerdo de Leonor. Sin ella no serían más que sombras».
LA TABLA REDONDA.
Alfonso VIII (1155-1214) tiene una fuerte vinculación con Soria. Es nuestro rey-niño. Asegura Miguel Moreno que vivió en Soria entre 1158 y 1162. El linaje de Santa Cruz y Pedro Núñez de Fuentearmegil le libraron de caer en las manos de Fernando II de León en la disputa existente entre Laras y Castros. Comenzó a reinar en Castilla teniendo 14 años, en 1169, y al año siguiente se casó con Leonor de Plantagenet, conocida también históricamente como Leonor de Inglaterra (1156-1214), hermana de Ricardo Corazón de León, sobre el cual se escribieron leyendas en las que sobresale Robin Hood y, mucho más próximo en el tiempo (en esta segunda mitad de siglo), aparece en algunas aventuras de nuestro Capitán Trueno.
Pues bien, si Leonor de Aquitania tuvo mucho que ver con la génesis del ciclo artúrico-griálico, aunque no tanto como los Templarios, su segundo marido, Enrique II Plantagenet trató de imitar al mítico rey Arturo, y al igual que hiciera después Ricardo Corazón de León, impulsó por motivos políticos más que nada la difusión europea literaria de las leyendas artúrico-griálicas en la que adquiere un papel relevante la Tabla Redonda que Arturo instala en su castillo de Camelot a sugerencia de Merlín, y que han sido recientemente plasmadas con mucho acierto en el filme Excalibur dirigido por John Boorman.
Alfonso VIII.
Sir Thomas Malory indica en La Muerte de Arturo que la Tabla Redonda (Mesa Redonda) estaba construída a imagen del mundo y en ella podía encontrar cobijo el universo entero, terrestre y celeste. F. Kampers se refiere a la trayectoria de los astros y a la rotación del cielo en relación siempre a un centro inmovil, un Eje del Mundo. Y como destaca Julius Evola, en muchas narraciones los caballeros que se sientan en torno a la Tabla Redonda son doce (como doce son los planetas y los metales en la astrología y alquimia, y doce son los signos zodiacales, y doce suman los apostoles, etc).
Julius Evola resalta su simbolismo en estos términos: «La importancia de este detalle estriba en el hecho de que el doce es un número solar que, de una u otra forma, siempre figuró dondequiera se constituyó, o intentó constituirse, un centro tradicional: los doce tronos de Midgard, los doce supremos dioses olímpicos, los doce troncos del centro délfico, los doce lictores en Roma, los doce residentes de la Avallonia, los doce condes palatinos de Carlomagno, y así sucesívamente». El doce, por supuesto, tiene otras interpretaciones simbólicas cuya enumeración no vienen al caso.
Tabla Redonda.
LOS DOCE LINAJES.
Con todas las referencias dadas no es difícil comprender que el licenciado Alonso Ramírez escribiera durante 1578 en su manuscrito Prerrogativas y Derechos de los Doce Linajes lo siguiente acerca del origen desconocido de éstos: «… nos queda agora la conjetura de pensar que ansi como los Doce Pares de Francia fueron instituídos a semejanza de la Tabla Redonda de Inglaterra e las Casas de Navarra a semejanza de los Doce Pares de Francia, la constitución e fundación de estos Doce Linajes debieron ser por esta manera».
Sabemos que Alfonso VIII concede a Soria su ‘Fuero Extenso’ y la mayoría de los historiadores consideran que fue el creador de la ‘Casa Troncal ‘ o ‘nstitución de Caballeros Hijosdalgo de los Doce Linajes de la Ciudad de Soria’, a los que otorgaría el Privilegio de los Arneses que ha obligado hasta el siglo XIX, época en la que se extinguió la Casa Troncal, a que los reyes de Castilla (y luego de España) pagasen en su primer año de reinado cien pares de armas, escudos, capellinas y sillas o 350.000 maravedíes a los Doce Linajes, hecho único en España, como única ha sido dicha Institución.
Rueda de los Doce Linajes.
(Luis Mc.Garrell)
No es ninguna tontería pensar que la Rueda de los Doce Linajes en la que están circunscritos los escudos de estas casas nobiliarias descendientes de godos y que rodean a la figura ecuestre de Alfonso VIII, encuentre su fundamento arquetípico e iconológico en la Tabla Redonda y el rey Arturo, pues sus leyendas las conocía desde niña Leonor de Plantagenet, cuya familia estaba expandiendo por Europa el ciclo artúrico-griálico.Esta es al menos mi opinión.
Así parece sugerirlo también este otro texto del escribano Alonso Ramírez transcrito por J.A. Martín de Marco: «… estos doce linages como está dicho no son más antiguos unos que otros ni menos principales porque todos se tiene por cosa cierta fueron escogidos e nombrados un mismo día y en una misma hora y para un mismo efecto de donde vino hacer el rey de Inglaterra de quien dice tabla redonda en que se sentasen para mostrar que en los tales caballeros no ha de aber prioridad ni posterioridad ni diferencia ninguna ni personal ni asientos ni en otra cualquier manera».
Por otra parte encontramos que el escudo de Soria es un castillo con tres torres y sobre las mismas asoma la cabeza coronada de un rey, Alfonso VIII. ¿Porqué no ver también en ello un paralelismo simbólico con Camelot y el rey Arturo?. Estoy seguro de que esta similitud rondó en la mente de Alfonso y Leonor y que tal vez sugirieron que el escudo de la ciudad fuese así por tal motivo. Tal vez, acaso, símplemente afectó inconscientemente en sus creadores estos arquetipos y lo configurasen así, en una sincronicidad más mítico-histórica.
Alfonso VIII y Leonor de Inglaterra.
Queda para otro día hablar del simbolismo iniciático de la iconografía de la iglesia románica de Santo Domingo, antaño de Santo Tomé, construída por canteros franceses de Poitou, de donde fue condesa Leonor de Aquitania, según explica María Elena Sainz Magaña en su tesis doctoral.
Irónicamente ha sido Santo Domingo de Guzmán -uno de los mayores combatientes del catarismo y del amor cortés trovadoresco impulsado por dicha reina- el que ha tomado posesión patronímica de este templo construído gracias a Leonor de Plantagenet, cuya figura sedente, como la de Alfonso VIII, parece estar representada entre la arcada principal y el rosetón-, rosetón que no es sino una materialización del simbolismo hermético de la rosa, muy nombrada entre los trovadores, minnesinger y Fieles de Amor, entre los que cabe incluir a Federico II, emperador de Alemania, que en alguna ocasión la denominaría -¡y asombrémonos, por favor!- «Rosa de Soria». Pero esa es otra historia.
Ángel Almazán de Gracia.
11 06, 2011

FLASHES Y NOTICIAS.

Por |2020-11-13T03:48:01+01:00sábado, junio 11, 2011|

2º Centenario de la R.y M. Orden de San Fernando y Capítulo de la R. y M. Orden de San Hermenegildo.
S.A.R. el Príncipe de Asturias asistirá a la celebración del 2º Centenario de la creación de la Real y Militar Orden de San Fernando y del Capítulo de la Real y Militar Orden de San Hermenegildo, que se celebrará (D.m.) en el Real Monasterio de San Lorenzo de El Escorial ( Madrid) el día 14 de junio actual. ( fuente:   http://www.casareal.es/   ) .
S.A.R. El Príncipe D. Felipe, con la venera de la Real y Militar Orden de San Hermenegildo.
D. Fernando Agudo Sánchez recibe la Cruz al Mérito Naval.
D. Fernando Agudo Sánchez, Presidente de la Academia Internacional de Heráldica, miembro, entre otras, de la Academia de Genealogía, Nobleza y Armas Alfonso XIII y del Colegio Heráldico de España y de las Indias,ha sido distinguido  con la Cruz al Mérito Naval, en atención a sus méritos y circunstancias personales, especialmente por lograr el establecimiento del Archivo General de la Armada “Don Álvaro de Bazán” en el término de Villanueva de la Cañada, de cuyo Ayuntamiento es concejal.
D. Fernando Agudo, persona muy conocida en los ambientes nobiliarios y caballerescos, pertenece a varias Ordenes y Asociaciones de Caballeros de gran prestigio, ha sido condecorado con la Cruz al Mérito Civil, con la Cruz al Mérito Policial y con la Cruz ( 2ª clase) con distintivo blanco de la Orden Civil de la Beneficencia.
Recibió la condecoración de manos del Almirante General y Jefe del Estado Mayor de la Armada, con quien aparece en la fotografía que exponemos.
Recomendamos blog: “Asturias, Genealogía, Heráldica y Nobiliaria”.
El sábado 9 de abril de 2011 vio la luz un interesante blog que nos introduce en la heráldica asturiana con la publicación de los escudos correspondientes a los 78 concejos que componen este hermoso Principado.
“Asturias, Genealogía, Heráldica y Nobiliaria” ( http://asturgenhernob.blogspot.com/ ) , guiado por D. Francisco José Francos, es la publicación que recomendamos hoy a todos nuestros lectores.
Ir a Arriba